Diskite:Pòtay:inivèsite Dayiti

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les quarante dernières années sont marquées par quatre phénomènes de grandes importance:

  • L'exode massif de ceux et celles qui pourraient être des enseignants compétents, attirés par les offres alléchantes de certains pays d'Afrique et du Québec ou forcés à l'exil.
  • La prolifération des "écoles borlettes", incapables de se pourvoir d'un personnel vraiment qualifié. Le taux d'échecs Aux examens officiels, ces écoles accusent un taux d'échecs, quelquefois embarrassants. Toutefois, elles suppléent à l'Etat en acceptant des étudiants qui, autrement, ne seraient pas acceptés dans les écoles publiques ou congréganistes.
  • L'échec de la réforme du système de l'enseignement entreprise par le ministre Joseph C. Bernard à la fin des années 70; une réforme qui prenait en compte la réalité linguistique d'Haiti et tentait de ré-structurer les dispositifs de l'éducation à partir de cette réalité. Certains éléments de cette réforme, qui aurait constitué un acte révolutionnaire dans l'histoire de l'éducation, furent repris après 1986.
  • Le lancement du plan national d'education et de formation.

Aujourd'hui, l'Etat haitien n'est toujours pas en mesure ou ne veut pas mettre l'éducation à la portée du grand nombre, et ce malgré des demandes sans cesse accrues de la part des masses prenant chaque jour conscience de l'importance d'une bonne formation académique pour leurs progénitures. Les fonds du budget national alloués à cet effet demeurent insignifiants et l'absence d'une politique d'éducation bien structurées et tenant compte de ces demandes laisse perplexe.

MasterChes 13 desanm 2007 à 15:06 (UTC)


Tradiksyon an[modifye kòd]

Dènye karant lane yo make pa fenomèn enpòtan anpil:

  • Egzòd pou moun ki te pe konpetan nan ansèyman